Lettre “CAP’Rando
Atous 54, n° 3, juin-juillet 2005
21 rue victor Hugo, 54 000 Nancy /
capra.54@free.fr
http://capra.54.free.fr
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EDITO DU PRESIDENT JUIN 2005
Mai 2005, le 9 exactement, dés 16h00 joëlettes déployées, photos exposées, tee-shirts présentés, nous sommes prêts à les recevoir. A 17h00 la place Stanislas neuve et éclatante, reçoit nos premiers invités. Petit détour pour certains, puis la porte s’ouvre et nous n’avons plu qu’à laisser couler tranquillement. Ils entrent, emplissent le hall d’entrée où nous les attendons, commencent à pousser plus loin et passent la seconde porte, les uns pour découvrir le fameux engin, les autres pour évaluer les plaisirs du buffet.
Ce sera leur manière d’approuver et de montrer leur adhésion à notre projet :
Amis, partenaires, politiques et associations sont là et nous n’avons plu qu’à les recevoir: Réalisations, l’avenir, déjà 4 mois, seulement quatre mois ! ?
Album commenté de notre aventure bien entamée, histoire de quelques-uns, un ensemble de photos qui nous permettent d’échanger, de rêver, de construire ensemble.
Tout le monde a bien parlé, un peu d ‘émotion mais tout va bien !
Beaucoup d’échanges, de nouveaux engagements, nous pouvons poursuivre notre route, confiants.
Deux articles de presse pour immortaliser, un passage radio, de nouveaux partenariats, d’autres projets, un travail qui progresse du côté de l’équipe jeune, la liste s’allonge et l’aventure continue.
Il reste toujours à courir un peu après les bras pour certaines sorties, relancer les financeurs pour augmenter notre parc de matériel et démultiplier les distances en fonction de l’envie et des possibilités de chacun.
Des idées, toujours de nouvelles idées, des trucs pour avancer et ouvrir notre activité, pour aménager les joëlettes et informer sur notre spécificité.
Confiants, nous pouvons l’être à l’image de cette belle fête du 9 mai 2005 et aux nombreux projets et partenaires qui nous rejoignent.
A bientôt, Yves
les visuels de cette page : la photo des logo UD54 et CME avec en commentaire "Un grand merci à nos partenaires pour ces deux joëlettes offertes"
Trois photos de l'inauguration : une vue d'ensemble sur la place Stanislas des participants (soit plus d'une soixantaine), une dans la salle des "discours avec Yves en pleins émois" et nos partenaires tous ouies et en extases! et une photo avec les étudiantes de l'AGI sur les joëlettes tractées par des jeunes loulous arborant fièrement ce magnifique tee-shirt noir illuminé par le logo CAP'Rando Atous 54.
La photo du mois : la scène représentant la fin d’inauguration insolite avec la visite impromptue de MAM (Michèle Alliot Marie) et de Andrée Rossinot.
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Randonnée au
pays du Sel (rando du 21 mai)
Ce dimanche matin, à Marsal , le temps est gris et lourd, mais tout le monde est au rendez-vous à l’heure !! Euh non, pas tout le monde, les Pethy pourtant réglo les autres jours, ont participé à une méga tuff de quadra la veille et il semble en plus de leur retard avoir les yeux et la tête encore mal calée. La journée de randonnée, d'aujourd'hui est « mixte » dans tous les sens du terme : des piétons, des randonneurs en joëlettes et des enfants en charrette. La rando est ouverte à tous, donc comme d'hab. on adapte ! Dom et Jocelyne ont comme yeux et compagnes du jour, Yvette et Eufobia, bonnes randonneuses au bras et aux pieds sûrs qui semblent également au point pour le bavardage; Les enfants ont des pousseurs de carriole, top modèle suédois, léger qui en général est utilisé pour les randos en roller, ou alors ils ont également les porteurs de sacs à dos pour bébés, pour ceux qui se fatiguent encore une peu vite; les pousseurs et tracteurs de joëlettes appelés par certains "mulets" sont en en pleines formes (sauf les Pethy, encore vaseux).
Enfin, le départ est donné avec une toute petite demi-heure de retard sur l’heure officieuse de départ (et une heure sur l’heure officielle !). Nous voilà lancés à l’assaut d'une première montée qui s'avère être ridicules par rapport à ce qui va suivre … A la fin de celle-ci, le cimetière des Mennonites … Le thierry nous explique, fort convaincu et convaincant tout cela dans le détail mais nous sommes encore un peu occupés par les détails de réglage technique des "mulets", etc. L’ambiance est gaie, décontractée, sans lézard, la journée s'annonce sympa et chaleureuse en rire et énergie muscu..
Première temps fort : un beau et long chemin gluant ! Qu’est-ce qu’un chemin gluant ? c’est un type de chemin fort fréquent de par chez nous dont la terre est humide et grasse. La particularité d'une telle glaise est de coller à tout ce qui a le malheur de s’y poser jusqu'à parfois perdre sa chaussure qui demeure engluée dans le sol. Il ne pleut pas certes mais il a fort plue la veille. Ah, il faut les voir nos randonneurs montés sur talons compensés, poussant joëlettes et carriole aux roues bloquées ! en tout cas, cela fait rire les enfants. De plus les mégas mares de flottes super sympa est le lieu idéal des gamins qui ont le droit de marcher dedans sans se faire disputer vous imaginez!.. Bon d’accord, après il faudra nettoyer les roues des joëlettes et de la carriole et également les voitures où nous rangerons ces très chers engins, mais rien ne nous arrête! n'est-ce pas!! Sylvie, la magnacos de la boue, a envisagé les grands sacs poubelles pour envelopper tout ce qui sera trop sale! J'espère qu'elle ne se trompera pas en rangeant car Aurore s'annonce déjà bien chargée en boue des pieds à la tête. Non, il nous manque quelque chose de plus physique comme par exemple…
Deuxième temps fort : la montée infernale ! Qu’est-ce qu’une montée infernale ?
C’est un sentier qui monte un peu fort, certes, mais sur un terrain gluant (voir temps fort 1). La propriété du terrain gluant étant variable avec la pente, la référence au temps fort 1 est toute relative. En effet, par forte pente, le terrain gluant a une fâcheuse tendance à se déplacer dans le sens de la descente avec l’objet/la personne qu’il porte et qui lui (elle) souhaite se déplacer dans le sens de la montée ! Si pour un pas de montée on recule de 2 pas, c’est le terrain gluant qui gagne et la montée est perdue d’avance ! Mais si pour 2 pas de montée, on ne recule que d’un pas, au bout d’un temps fini, et après une grosse suée, on finit par atteindre le sommet de la côte. Si je vous assure, on y arrive, la preuve puisque je suis présente pour vous en parler!
Troisième temps fort : la descente infernale ! C’est quoi une descente infernale ? C’est un sentier qui descend un peu fort certes, mais sur un terrain gluant (voir temps fort 1 et 2). La propriété du terrain gluant étant variable avec la pente et le sens de la pente, la référence aux temps forts 1 et 2 est toute relative. En effet, par forte pente descendante, le terrain gluant, au lieu de coller et de ralentir le randonneur ou de glisser en arrière pour ralentir le randonneur, a tendance à se lisser et faire accélérer et glisser tout ce qui s’y pose : pied, roue, et même fesses ! et cette propriété particulière a tendance à se renforcer au fil des passages. Mais rien n’arrête de vaillants randonneurs, les options des différents groupes font plus ou moins leurs preuves (hors piste, passage en crabe, sur les fesses, freins bloqués…), mais tout le monde arrive sain et sauf en bas. Bien sûrs quelques chutes et glissades n'ont pu être évitées. Jocelyne, et bien d'autres commencent à présenter des caractéristiques communes de ressemblances. Le record des "glaiseux" demeure pour Aurore car pourtant déjà bien maculée de boue suite à son rattrapage de chute lors d'un moment "tireur de joëlette" avec Sylvie et …, elle n'hésite pas à porter sur les épaules les gamins des plus crottés et à laisser éclater son rire tonique et dynamique.
Quatrième temps fort : le bien être d’une pause repas bien méritée ! Eh bien oui, il fallait bien redonner le moral aux troupes. Au pied d’un chêne multi-centenaire. L'endroit de rêve tant décrit s'avère être carrément dans une mini mare, dur dur de trouver une souche pour se poser… Par ailleurs, le calage des joëlette est loin d'être aisé. Pour Laura, ça va relativement vite. Mais pour Daniel, c'est tout un roman : d'abord trouver un lieu où il peut s'agripper pour "exprimer sa joie" contre un arbre car pour une fois, on s'est très peu arrêté pour la pause "pipi dans la bouteille" Or, je ne sais pas ce qui lui a pris mais après avoir enfin trouvé l'arbre rassurant idéal v'la tis pas qu'il ne voulait plus le lâcher et agrippé comme un forcené au tronc, il tournait autour… Yves , Daniel, Nathalie étaient là pour lui dire de le lâcher et l'aider à se reposer sur la joëlette mais rien n'y faisait. Pendant ce temps, Sylvie qui ne voyait rien de ce qui se passait réclamait à grand cri le sac de victuailles que portait Yves, … Epopée drôle qui demeurera une moment dans la mémoire des plus touchés. Enfin, … On s’installe et là, on reconnaît les habitués : ceux qui ont pensé à la bâche pour s’asseoir (ou avaient-ils pensé à la pluie ? ?), ceux qui ont préparé du cake pour l’apéro, ceux qui ont emporté du vin (dont la bouteille ne s’est même pas cassée !), ceux qui ont prévu le gâteau au chocolat, ceux qui ont pensé aux bonbons pour encourager les plus jeunes et bénis soient-ils, ceux qui n’ont pas oublié le café !! En fait l'épopée de Daniel à repris à nouveau car une fois sur la joëlette, nous aurions pu penser que tout irait de soi mais les 80kilo de Daniel était incompatible avec les cales d'écorces que nous avions placés sous les pattes.
De là, à nouveaux de gros rires car imaginez, Daniel, imperturbable avec son sandwich et son gobelet, qui s'affaissait soi à gauche, soi devant soi à droite. Heureusement, le côté fort vigilant et opérationnel de l'autre Daniel (Lambert) est sans cesse de mise. Il a trouvé de bonnes souches pour chaque patte de joëlette et nous avons enfin profiter sereinement de notre casse-croûte.
Cinquième temps fort : la traversée infernale ! toute bonne chose a une fin, il faut repartir. La descente infernale nous a conduits hors sentier, il faut donc couper à travers bois pour trouver un chemin digne de ce nom. Oui, mais toute cette humidité ambiante, tous ces chemins gluants, ne sont-ils pas liés à une présence importante d’eau ? et en bas des pentes, l’eau n’a t’elle pas tendance à suivre le chemin le plus facile et donc à créer des ruisseaux ? Et les ruisseaux hors sentiers, vous croyez vous, qu’on y trouve des ponts ? Eh bien non ! Que faire? Pas d’hésitation possible, trouver des vieux troncs, les jeter dans l’eau, jusqu’à faire un pont semi-flottant (ou semi-coulant, c’est selon), permettant de traverser le ruisseau en se mouillant, pour les plus chanceux, la semelle des chaussures, et pour ceux faisant l’assistance à la traversée, les chaussettes jusqu’à la cheville. Encore un obstacle de franchi, mais jusqu’où irons nous ?
Les enfants, nous surprennent beaucoup car aussi bien Léa (8ans), que Justine (12ans), gardent leur tonus.
Sixième temps fort : la montée infernale 2 (voir montée infernale 1, en moins raide, mais avec des troncs d’arbres en travers du chemin). Là je pense que le rythme et les compétences pour gérer sont acquises car il y eu moins de glissade et de faits mémorables.
Septième, huitième… temps forts : incroyable mais vrai, la randonnée devient plus cool, faut dire qu’après ce qu’on a vécu, c’est pas difficile ! On visite une petite chapelle. Une charmante sœur, curieuse et bonne causeuse, nous remplie les gourdes, on observe des troupeaux de moutons dans les prés, on arrive au sommet d’une colline. Là, le vent est assez rude mais quelle magnifique vue sur la vallée! Les champs de colza, déjà un peu défraîchi, restent encore dominant au niveau des taches de couleur. Tant d’émotions ont eu raison de la résistance de Jocelyne, mais avec Sylvie : un problème, c’est une solution : les plus grands enfants vont à pieds, le plus petit dans le sac à dos, Laura prend la carriole des enfants, Jocelyne la joëlette de Sylvie, Sylvie la joëlette de Laura qui n'a pas de calle pied et on entame la descente vers Marsal. La descente est trop tentante, Thierry gère la carriole de Laura en courant. Laura n'est guère rassurée car, très au ras des pâquerettes dans ce nouvel engin, elle perçoit plus les différences de dénivelés. Le tireur Manu Pethy est enfin réveillé et donc avec pousseur Marie-Noel et Sylvie "Farnienteuse", il entame également la descente en courant, histoire de se préparer pour le déboulé de la Bergamote! Yves ne va pas être en reste mais là son passager est d'un autre poids; Donc La première joëlette grille largement
la leur. Comme on dit qu'est qui les gamins? Les grands ou les petits, … Nous arrivons sous 3 gouttes de pluie. On démonte les véhicules, on change les enfants, certains vont boire un coup dans le village et tout le monde gardera un excellent souvenir de cette journée de randonnée extrême.
Joëlle, Thierry et Sylvie
Visuels de cette page : pour chaque temps forts, une photo vignette illustre le thème en question
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La marche aux brandons
Cette après-midi a été excellente même si au départ on devait partir le matin pour faire le grand trajet, et qu’il a fallu y renoncer à cause du temps(neige à moitié fondue mais glissante par endroit, boue,…etc). De plus la troupe était moins importante que prévue, donc moins de relève pour les joëlettes. Si j’ai pu venir c’est grâce à Isabelle et Claude, qui ont accepté de se charger de mon cas, dans leur voiture, alors qu’ils ne me connaissait même pas(hum…en fait peut-être justement parce qu’il ne me connaissait pas !). Je plaisante, je crois ne pas les avoir traumatisé. Bon, où est-ce que j’en étais restée…ah oui …hum…montage des joëlettes (terminé avant mon arrivée d’ailleurs)…essai des engins par tous : petits et grands enfants, pour bien voir si elles fonctionnent…regonflage de toute dernière minute avec la pompe trésor dénichée dans une maison voisine(avec accord du propriétaire)…Et voilà enfin, les randonneurs du Saintois, les marcheurs de Cap Rando, les trois joëlettes nous avons sillonnés la forêt à la suite des hommes de Cromagnon,, de Néanderthal, des voleurs de grands chemins, des guérisseurs en tous genres à la recherche de plantes magiques…Cela a été l’occasion d’apprendre une légende, sur la colline de Sion,que l’on apercevait au loin, derrière le bois d’Anon. En même temps qu’il suait sang et eau, Guillaume raconta, qu’une jeune femme à cheval poursuivie par un cavalier soupirant trop assidu, préféra sauter de la falaise plutôt que de se laisser faire. Une pierre porterait la marque d’un des fer de son cheval, qui cela dit en passant devait être solide ! Malheureusement nous étions assez dispersé et peu de monde a du entendre cette histoire. De légende en chants d’oiseaux en découvertes de biches s’enfuyant au loin, l’après midi a vite passé et nous sommes arrives au buffet du soir : vin chaud, café, chocolat chaud et gâteaux en tous genre étaient présents. Tout le monde a pu se restaurer. Puis chacun a pu choisir soit de rester pour la marche aux brandons jusqu’au lieu du feu d’artifice (sur la place du village), soit de rentrer chez soi. Ce fut une excellente après-midi et je suis énormément contente d’être venue car en rencontrant les autres, on arrive un peu mieux à se rencontrer soi-même.
Laura VOUAUX
Etudiante en Psychologie
En visuel de cette page : Laura, Isabelle, Guillaume en pleine action et un sentier de forêt avec un petit troupeaux d'humains
Festival de la Rando, 10 avril 2005
« Rosée du matin n’arrête pas le pèlerin », dit le dicton. Et ce jour-là, la pluie annoncée par une météo pessimiste n’a pas découragé la bonne douzaine de marcheurs de Cap’Rando qui s’était inscrite au festival de la randonnée organisé par le Club Alpin. Sur place, dès le matin, Yves, Sylvie et les copains avaient mis la dernière main au montage des joélettes et avaient eu bien des déconvenues ! Au programme de l’après-midi : 7 kilomètres à partir de Maron. 14 heures, tout le petit groupe s’est rassemblé au point de départ, devant l’ancienne gare du village. Encore quelques problèmes techniques et Yvon a pu s’installer dans une des joélettes, l’autre, pour Sylvie, restera sur place faute de trouver une pompe ! Nous voilà enfin prêts : Jocelyne au bras d’Isabelle, Daniel accompagné d’Elisabeth, et moi avec Catherine. Munis de l’itinéraire, nous nous mettons en marche. Le chemin longe d’abord l’ancienne voie de chemin de fer : nous écrasons les herbes folles et les cailloux roulent sous nos pieds. Puis nous gagnons enfin la forêt. Beaucoup de montée, car il nous fait rejoindre le haut du plateau qui surplombe les boucles de la Moselle, puis redescendre ensuite vers le village. Emporté par des bras énergiques, Yvon grimpe allègrement et nous nous arrêtons souvent pour attendre leur petite équipe. On a chaud, on a soif, on respire le bon air, on est bien dans ce bois ! Pourtant, il n’est guère entretenu : des troncs d’arbres couchés qu’il faut enjamber ou contourner, des branches qu’il faut écarter, des ronces qui griffent un peu. Mais les premières feuilles sont déjà là et par terre, des tapis de violettes et de coucous parlent du printemps. Les violettes ne sentent rien, dommage ! Au haut du plateau, c’est le point ravitaillement : des pruneaux, des barres de céréales, de l’eau, bref tout ce qu’il faut pour reprendre des forces. Catherine retrouve plein d’amis randonneurs. Ravigotés, nous nous remettons en route pour la dernière partie du parcours : ce n’est plus que de la descente, mais par endroits, elle est raide et le terrain est glissant. J’espère ne pas peser trop lourd au bras de Catherine ! Qu’à cela ne tienne, tout le monde se retrouve en bas, près du podium. Sylvie nous attend. Ouf, elle ne s’est pas trop ennuyée puisqu’elle a trouvé avec qui papoter ! C’est l’heure des récompenses : un brevet de randonneur, un T-shirt du Club Alpin, et puis un dernier petit goûter avant de se quitter. On partage les dernières victuailles ; Daniel, notre ami Belge, peut enfin déguster sa petite bière. Merci au CAF, merci à la bienveillante équipe de secouristes, merci à tous pour cette agréable promenade et pour l’ambiance détendue de cet après-midi de randonnée.
Dominique
BOUCHERAT
En visuel de cette page : la période pause-boisson où nous voyons une
bonne bande joyeux lurons, + la photo-vignette de Dominique avec son beau
tee-shirt CAP'Rando Atous54.